Startup française et financement international : tout ce qu’il faut savoir
Lancer une startup en France peut être un défi passionnant, mais le financement reste l’un des aspects les plus critiques de la réussite. Pour une startup...
Le Canada est très attractif pour les investisseurs. Transparence des transactions, pouvoir des actionnaires, responsabilité des managers : le pays a une économie parmi les plus saines au monde.
Vous avez comme projet de créer ou de racheter une entreprise canadienne ? Vous devez d’abord souscrire à un programme d’immigration, puis soumettre un dossier commercial.
Tous les investissements demandent une mise de fonds. Pour transférer la somme demandée depuis la France (ou n’importe quel pays étranger) vers le Canada, privilégiez un opérateur en ligne.
Avec Wise par exemple, vous pourrez faire des virements en profitant du taux de change réel et d’une grille tarifaire avantageuse.
Si le Canada a tout l’air d’un eldorado pour les investisseurs, il est aussi soumis à certaines contraintes qu’il est difficile d’occulter :
Avantages | Inconvénients |
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Les secteurs d’activités les plus intéressants pour les investisseurs sont :
À noter : certains secteurs sont soumis à un monopole provincial ou fédéral. C’est le cas de la santé, l’importation d’alcool, l’énergie, les infrastructures routières et l’éducation. Les investissements privés sont donc interdits (sauf cas particulier de partenariat privé/public).
La participation à une entreprise canadienne est la forme la plus directe d’investissement. Si vous n’êtes admis à aucun programme d’incubateur d’entreprises, vous devrez apporter un capital assez conséquent¹ :
Très peu développés à l’heure actuelle. Le gouvernement étudie au cas par cas l’ouverture au capital privé.
Les appels d’offres, qu’ils concernent le secteur privé ou public, sont un formidable levier pour faire connaître votre entreprise et acquérir de nouveaux marchés au Canada.
Voici quelques organismes qui répertorient les appels d’offres :
Si vous n’avez pas les fonds nécessaires à l’obtention du visa investisseur, tournez-vous vers une institution financière ou une agence spécialisée. La plus connue est la Banque de Développement du Canada.
Vous avez déjà les garanties ? Le visa investisseur sera donc plus simple à obtenir, à condition que votre dossier commercial soit solide.
Les documents demandés pour l’ouverture d’un compte professionnel varient d’une banque à l’autre.
Toutefois, quelle que soit l’institution que vous sollicitez, vous devrez nécessairement présenter un permis de séjour et une copie de votre passeport.
Parmi toutes les banques présentes dans le pays, nous en avons sélectionné quelques-unes qui offrent les conditions intéressantes. Rendez-vous ici pour savoir comment ouvrir un compte au Canada.
Pour alimenter votre compte bancaire ou payer vos fournisseurs, vous serez sans doute amené à faire des virements depuis la France vers le Canada.
Un conseil : ne les faites pas via votre agence, car vous allez payer très cher.
Le prix d’un virement bancaire se compose d’une part fixe et variable, mais aussi d’une surcharge liée au taux de change. Dans certains cas, des frais de correspondants pourront être appliqués.
Pour faire des économies sur vos virements en dollar canadien, pensez à Wise. Vous bénéficierez de :
Les investisseurs étrangers bénéficient de la liberté d’établissement à condition qu’ils respectent la « Loi sur Investissement au Canada ».
Cette loi « vise à instituer un mécanisme d’examen des investissements importants », afin de protéger le pays des personnes « susceptibles de porter atteinte à la sécurité nationale »².
L’examen du financement concerne les non-Canadiens désirant créer ou prendre le contrôle d’une entreprise.
La réglementation concernant le contrôle des investissements est très complexe.
Le déclenchement des examens dépend notamment du montant de la participation et du statut de l’investisseur (entreprise d’État, entreprise privée venant d’un pays affilié/non affilié à l’OMC).
Pour en savoir plus sur les seuils, rendez-vous sur le site du gouvernement canadien.
Toutes les demandes d’investissement doivent se faire l’agence « Investir au Canada ». Cette dernière vous aidera à structurer votre dossier commercial. Elle pourra aussi vous fournir des informations pratiques sur le climat des affaires ou sur votre branche d’activité.
Pour avoir le droit de soumettre votre dossier, vous devez au préalable bénéficier du Programme des gens d’affaires sélectionnés par le Québec. Pour être admissible au volet investisseur du programme, vous devrez investir au minimum 800 000 CA $ et avoir au moins 1 600 000 CA $ d’avoir personnel³. Toutes les conditions sont accessibles ici.
L’instance qui examinera votre dossier dépend du secteur dans lequel vous souhaitez investir :
L’industrie du divertissement fait état de certaines restrictions pour les investisseurs étrangers, au même titre que la finance, l’aviation, les télécommunications, la pêche et le secteur minier.
Les règles de la création d’entreprise varient en fonction des régions. Au Québec par exemple, vous devrez souscrire à un programme spécifique selon que vous ayez reçu ou non une offre provenant d’un incubateur.
Comme pour l’investissement, vous devrez avoir trouvé un moyen de financer le démarrage de votre entreprise pour y être admissible.
Voici quelques informations sur le programme des entrepreneurs du Québec.
Plusieurs institutions offrent de l’aide aux investisseurs :
Certaines provinces canadiennes ont des règles spécifiques en matière d’investissement.
Pour en savoir plus, allez consulter le site institutionnel de l’état qui vous intéresse, ou bien la sous-section « Endroits » du site « Investir au Canada ». Vous obtiendrez les informations très importantes sur la réglementation locale.
Wise dispose de solutions très concrètes qui faciliteront votre investissement au Canada et le fonctionnement de votre entreprise une fois lancée :
Sources
*Veuillez consulter les Conditions d'utilisation et la disponibilité du produit pour votre région, ou visitez la page de tarification et des frais de Wise pour obtenir les informations tarifaires les plus récentes.
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